Voici ce que me racontait un participant à la fin d’une journée de formation :
1992 : ce n’est pas ma date de naissance et je le déplore, mais la date de mon entrée dans la vie active. Après deux années passées dans une PME comme technico-commercial, des résultats insuffisants et une fusion de l’entreprise avec le géant européen du secteur ont mis fin à cette première expérience.
Me voilà à nouveau en quête d’un travail avec son cortège de CV, de lettres de motivation, d’épluchage d’annonces dans les journaux (oui, j’ai connu l’époque que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître où l’on trouvait les offres d’emploi sur une espèce de cahier en papier que l’on appelait journal), d’entretiens d’embauche.
« Quartier de La Défense, tour vitrée étincelante… « C’est sûr que si je décroche le job, ce serait pas mal » m’étais-je dit alors en me rendant à un entretien d’embauche. A 22 ans, on est parfois très attiré par les apparences et tout ce qui brille…